Bail commercial : ce qu’il faut vérifier avant la signature d’un contrat

Lorsqu’on prévoit de commencer une activité donnée comme l’ouverture d’une boutique ou autre, on ne peut souvent s’échapper de la location et ainsi de la signature d’un bail commercial. Seulement, avant de s’y lancer, il faut savoir qu’il existe certains pièges dans ce domaine. Sur ce, il faut toujours bien se méfier avant d’y entrer. La vérification certaines clauses s’impose dans ce cas.

 

Bail commercial : le type de location à vérifier en premier

Avant de signer un bail commercial, il est indispensable de définir au préalable le type de location à opter. Il ne faut pas oublier en effet qu’il existe plusieurs types de locaux pouvant être loués avec ce dernier. On peut en citer par exemple les boutiques, les usines, les bureaux, les hangars et tout le reste. En signant un bail non commercial tout en exerçant une activité commerciale dans un local donné, le locataire n’est pas toujours obligé de passer à un bail commercial. Sur ce, il devrait avant tout bien étudier son activité et n’opter pour ce dernier que si besoin est. La durée de la location se révèle aussi à prendre en compte avant de signer un contrat de bail commercial. La durée minimale de celui-ci est de 9 ans et le loyer peut être révisé tous les 3 ans. Il est de ce fait important de choisir un projet à long terme avant de se lancer dans une telle location.

 

Bail commercial : les tarifs doivent être négociables

Le bail commercial contient certes les tarifs de la location d’un local donné ainsi que les augmentations susceptibles d’être adoptées par le propriétaire à l’avenir, mais avant sa signature, le locataire devrait avoir le droit de négocier les prix. Il est de ce fait plus judicieux d’opter pour les logements où les tarifs se révèlent encore négociables. Il est de même important de s’informer sur le loyer d’origine afin de ne pas tomber dans le piège d’un propriétaire malhonnête. Il est en outre recommandé de faire attention à la sous-location et au changement d’activité, car le propriétaire a le droit d’augmenter le loyer si l’un de ces cas se présente.